L’accompagnement des Pouvoirs Publics dans les économies d’énergie se poursuit en 2014, même si le photovoltaïque est désormais exclu du système, et que le mode de calcul change un peu. Pour autant, de nombreux avantages fiscaux subsistent encore.
Quelques changements en 2014
Le premier changement réside dans le taux du crédit d’impôt. Celui-ci sera différent selon que l’équipement soit installé seul (exemple : une chaudière basse condensation) ou dans un bouquet de travaux à réaliser dans les deux ans (exemple : une chaudière basse condensation et un chauffe-eau solaire). Il est de 15% dans le premier cas, et de 25% dans le second.
Autre particularité, le crédit d’impôt de 15% est soumis à des conditions de ressources, ce qui n’était pas le cas jusqu’à présent. Des limites ont également été mises en place sur les caractéristiques des installations (exemple : puissance maximale de 300 kW pour une chaudière à granulés, ).
Les équipements bénéficiant du crédit d’impôt
Malgré ces limitations, un grand nombre de foyers est encore potentiellement concerné par le système des crédits d’impôt. Parmi les équipements qui peuvent être installés se trouvent notamment :
- la chaudière gaz à condensation
- le chauffe-eau solaire
- la pompe à chaleur air-eau
- la pompe à chaleur géothermique
- la chaudière bois et le poêle à bois
- l’isolation des fenêtres, des combles, des murs et des sols
- le chauffe-eau thermodynamique
A noter enfin qu’ à partir de juillet 2014, pour bénéficier de ce crédit d’impôt, les travaux doivent être réalisés par un professionnel labellisé RGE (Reconnu Garant de l’Environnement).
N’hésitez pas à vous rapprocher de sociétés spécialisés tel que Panosol ou d’autres, pour faire des économies d’énergie, et bénéficier de conseils pour vos crédits d’impôts.